Dimanche 27 avril 2008 à 18:30

[Always love
Don't wait 'til the finish line]

[With your feet on the air and your head on the ground
Try this trick and spin it]

[ Whenever you're in trouble
Won't you
Stand by me]


[ And all the roads we have to walk along are winding
And all the lights that lead us there are blinding
There are many things that I would Like to say to you
I don't know how ]


[ Space may be the final frontier
But it's made in a Hollywood basement
Cobain can you hear the spheres
Singing songs off station to station]

[ I'd like to change my point of view
I feel so lonely, I'm waiting for you]


[ When you feel so tired but you can't sleep
Stuck in reverse ]


[ If I just lay here
Would you lie with me and just forget the world?]



[ Keeping down the underground]

[ When you were here before,
Couldn't look you in the eye
You're just like an angel]




Always love. Where is my mind?  Stand by me. Wonderwall. Californication. Lemon tree. Fix you. Chasing cars. The end has no end. Creep.


Dimanche 27 avril 2008 à 16:29


Besoin de printemps. d'été, d'automne et d'hiver, besoin de vie. Besoin d'air dans les poumons et de vos rires dans les oreilles.
 

Vos rires, nos rires, on devrait les enregistrer et se les passer en boucles quand tout ne va pas si bien que ça. Comme une cassette que l'on met ne voiture quand on part en vacances. Repasser la bande de ces 5 dernières années et compter combien de fois on a pleuré et à cause de qui. Compter le nombre d'éclats de rire, et nombre de fois où l'on s'est relevés. Ecouter nos rires en boucle toute la journée. Histoire d'être toujours sûre sûre sûre que vous serez encore là. Pour me relever encore et encore quand ça n'ira pas. Parce que vos rires c'est ça, c'est la promesse que demain sera encore plus beau qu'hier et que l'aujourd'hui nuageux sera remplacé par le plus beau des étés. Le soleil c'est vous. C'est bien connu le vrai brûle à lieu de briller. Vous vous réguler la température tous les jours de l'année. Vous faites en sorte que tout aille mieux. Vous transformez les journées nulles en journées mieux, les journées mieux en journées biens, les journées biens et jours géniaux. Vous êtes le bonus survie dans la jungle adolescente dans laquelle on s'est tous plus où moins perdus. Mais se perdre à plusieurs ça fait moins peur. Et puis ça fait rire. Et nos rire, on devrait les enregistrer, et se les passer ne boucle tous les jours de l'année.



Dimanche 27 avril 2008 à 12:37

[ Sers moi trop fort, cette vie sans toi me fait plus peur que la mort.]

C'est le bordel intersidéral. Ne sachant plus quoi penser j'ai carrément arrêté, et je m'y tiens plutôt bien sous peine d'explosion, ou d'implosion. Enfin sous peine de truc pas trop chouette qui ne correspond pas au temps de ces jours-ci. Il fait beau, alors dans le bus c'est Tryo le matin et Ska-P le soir.  Et de la musique folklorique-en-fait-non le matin quand Hugo tape assez fort sur son mp3 pour que les deux écouteurs marchent. (J'ai presque finit son sac, Metalic Rainbow creation.) Je le vois plus. Je vous vois plus. Et les jours fériés à venir promettent que ça risque de durer encore un mois. Et dans un mois. Je serai sur scène.
La lithosphère a les yeux trempés de larmes. Nos articles sont des poèmes. Et nos blogs un nouveau roman à eux seuls.


Dimanche 20 avril 2008 à 12:57

Les vacances c'est toujours la même galère. On dit qu'on fera et on ne fait pas. On verra des gens, on fera de la physique, on lira ce livre d'anglais, on rangera la chambre,on écrira plus, on fera moins de fautes sur un clavier, on ne le vernira pas de bleu et on arrêtera de manger des barrettes. Au résultat rien de tout cela n'est commencé. Et mon bureau est, à l'image de ma tête, dans le bordel le plus complet. Ma tête, c'est comme le forum romain, avec des orangers, des vieilles pierres et des tas de marches dedans. Vous voyez le château Saint-Angelo? Et bien chez moi c'est aussi tordu que ça, mais avec un panorama sur Rome beaucoup moins joli.
On payera des cours de chant à Toshi, vous voyez bien que les sectes c'est mal. Un peu comme les fables te ce n'est pas Rousseau qui me contredira. Il y a des gens qui s'inquiète pour rien, et d'autres qui font mal par égoïsme. Vous voyez bien qu'on se perds, qu'on en perds. Il y a les anciens qui partent de leur côtés et puis des nouveaux qui se greffent. Et ceux qui restent. Qui répondent présent parce qu'ils savent qu'on vaux de l'or.
 Si jamais il est célibataire je lui trouve une copine qui ne sera pas moi, mais à mon avis il est comme elle : Incapable d'être seul plus de 2 semaines.



Et puis il y a des chansons qui veulent tout dire et qui rappellent trop de choses. Ecouter tellement de fois un air qu'il pourrait devenir la bande original du film de notre vie. Et en changer pour avancer, parce qu'on ne supporte plus les choses qu'il nous rappelle. Au jour d'aujourd'hui, il existe 2 chansons sur lesquelles je ne peux pas m'empêcher d'aller mal. Et une dizaines d'autres qui me remontent le moral. Vous êtes incrustés dans tous mes souvenirs, et rien que pour ça, les souvenirs, c'est fendart.
 
[C'est le chien qui s'appelle Indiana.]

Vendredi 11 avril 2008 à 23:23

[Tu y crois toi? la magie des rencontres?]

Je serais bien tentée de dire oui.  En regardant dans les rétros pour faire le bilan de ces 16 dernières années, des rencontres magiques il y en a eu pas mal.
Je pense objectivement que ma vie est un film et je vais de ce pas demander au scénariste de m'écrire pleins de voyages, de me trouver un but et de ne jamais me séparer d'eux.Non sérieusement, m'offrir des amis en or massif au moment ou ça va le moins bien. Réunir les gens tordus sur le même bans pour les empêcher d'être trop bancals. Et puis quand on y pense j'ai vécut des tas de journées dignes d'une œuvre cinématographique. Des déambulation rouennaises un dimanche après midi qui donnent lieu à des visites de cathédrales, des tours de grande roue, des balades le long des quais au fil d'on ne sait trop quoi. Des gens rencontrés au moment où l'on pris pour ne plus jamais être seul. Des souvenirs qui ressemblent à des photos de magazines.

Et vous savez le moment où vous allez le plus mal, où vous vous dites que le meilleur est derrière vous et que vous l'avez laissé tomber. En fiat souvent, le meilleur il est devant... Je me comprends.




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