On décrochera la lune et les étoiles...
Mardi 8 juillet 2008 à 11:16
Dans 24 heures je suis dans un avion et je n'ai plus que ça en tête.
Vous dire au revoir, faire mes valises et en oublier la moitié. Heureusement il y a Lambe, et vous qui faites les cons dans ma tête sur la musique. Dans la maison de la fouine l'été dernier, quand Matmatah tournait en boucle alors que je partais à Londres le lendemain. Et puis Lambe je peut l'emmener de l'autre côté de notre hémisphère, Lambe elle passera tous les jours dans mes oreilles, promis.
Je prendrai tout en photo et j'imprimerai les souvenirs sur ma rétine histoire de tout vous raconter 10, 20, 30 fois. Je vous maillerai tellement souvent que ce sera un peu comme si vous partiez avec moi. Un mois loin de vous je crois que j'ai jamais fait. Je crois qu'on ne s'est jamais quitté pour de vrai, on est toujours resté à un coup de fil et un texto les un des autres. A quelques kilomètres, à quelques heures, à peine quelques semaines. Et là un mois définitif loin de vous ça me fait flipper. Vous aller me manquer bande de fouines, de truites, de chenilles et autres surnoms débiles. J'ai des amis en or et je suis obligé de partir à 9000 Km pour leur faire une déclaration...
Vous dire au revoir, faire mes valises et en oublier la moitié. Heureusement il y a Lambe, et vous qui faites les cons dans ma tête sur la musique. Dans la maison de la fouine l'été dernier, quand Matmatah tournait en boucle alors que je partais à Londres le lendemain. Et puis Lambe je peut l'emmener de l'autre côté de notre hémisphère, Lambe elle passera tous les jours dans mes oreilles, promis.
Je prendrai tout en photo et j'imprimerai les souvenirs sur ma rétine histoire de tout vous raconter 10, 20, 30 fois. Je vous maillerai tellement souvent que ce sera un peu comme si vous partiez avec moi. Un mois loin de vous je crois que j'ai jamais fait. Je crois qu'on ne s'est jamais quitté pour de vrai, on est toujours resté à un coup de fil et un texto les un des autres. A quelques kilomètres, à quelques heures, à peine quelques semaines. Et là un mois définitif loin de vous ça me fait flipper. Vous aller me manquer bande de fouines, de truites, de chenilles et autres surnoms débiles. J'ai des amis en or et je suis obligé de partir à 9000 Km pour leur faire une déclaration...
[Si tu cherches un peu de gaité viens donc faire un tour à Lambe]
un jour on ira à Lambezelles en voiture jaune à fleurs rouges. Promis.
Une information à mettre au conditionnel... Mais il semblerait bien que vous aime.
un jour on ira à Lambezelles en voiture jaune à fleurs rouges. Promis.
Une information à mettre au conditionnel... Mais il semblerait bien que vous aime.
Dimanche 6 juillet 2008 à 12:27
Idéalement, nous sommes ce que nous pensons. Dans la réalité, nous sommes ce que nous accomplissons.
D'abord j'ai les doigts gelés par le froid matinal normand. Ensuite j'ai le cœur serrée, par un départ imminent, par des larmes versées hier, par des cœurs dessinés qui s'effacent, par les mails qu'on s'envoie qui s'amassent.
J'aime pas l'ambiance des au revoir, des départs. Faire des valises, remplir des dossiers, remplir des carnets. Faire des listes de "ne surtout pas oublier" et oublier quand même. J'aime pas la distance qui nous sépare déjà, à laquelle on ajoutera bientôt quelques 9 000 kilomètres ...
Alors pour combler tout ça on s'occupe, on écrit et on tri. On la voit, alors qu'on l'a trop négligé ces derniers temps. On s'occupe de chambres d'hôtes et on collectionne les souvenirs à emmener, à ramener. On lit et on essaye de ne pas pleurer, on s'entoure avec ce que l'on peut. Son pull, son collier, et puis eux, les anges qui me servent d'amis.
J'aime pas l'ambiance des au revoir, des départs. Faire des valises, remplir des dossiers, remplir des carnets. Faire des listes de "ne surtout pas oublier" et oublier quand même. J'aime pas la distance qui nous sépare déjà, à laquelle on ajoutera bientôt quelques 9 000 kilomètres ...
Alors pour combler tout ça on s'occupe, on écrit et on tri. On la voit, alors qu'on l'a trop négligé ces derniers temps. On s'occupe de chambres d'hôtes et on collectionne les souvenirs à emmener, à ramener. On lit et on essaye de ne pas pleurer, on s'entoure avec ce que l'on peut. Son pull, son collier, et puis eux, les anges qui me servent d'amis.
[Le commissaire Adamsberg savait repasser les chemises]