Mardi 24 novembre 2009 à 22:45

En fait c'est un cercle vicieux...Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Pleurer. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. Pleurer. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Pleurer. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Pleurer. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. Pleurer. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. Avoir peur de ne plus compter. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Me sentir seule loin de vous. Être mal à cause de l'éloignement. N'avoir que mon oreiller et son pull comme réconfort. Avoir peur de ne plus compter..... Ouais... Un putain de cercle vicieux.

Mercredi 11 novembre 2009 à 21:31

http://suicides.underground.cowblog.fr/images/bubble.jpg

Parce qu'elle m'a donné envie d'écrire. Comme on le faisait avant, écrire sur nous sur un blog. A l'époque où il y avait du passage par quinzaine. Parce qu'a cette époque là on était pas quinze individus qui s'entendaient à merveille on était une personne à la fois super triste d'être dans quinze corps différent et en même temps vachement heureuse d'avoir retrouvé tous ces petits bouts d'elle même dans ce collège de banlieue Rouennaise. Un peu comme Voldemort dans Harry Potter qui met son âme dans tout plein d'objets nous on était une âme dans tout plein de gens. On dit qu'on se construit dans le regard de nos amis, et putain c'est vrai. On s'est tous construit les uns sur les autres, en s'empruntant des poutres et des briques pour tenir debout. Et puis peu à peu, on à finit notre construction, enfin pas totalement bien sûr, mais le plus gros du chantier, alors doucement on s'est rendue nos brique et nos cloisons et on ets parti trouver notre petit bout de terrain un peu plus loin pour pas trop se marcher sur les plates-bande.C'est vrai qu'on aurait pu resté bien solidaire comme il faut et se mettre en immeuble mais nous la campagne les champs nicolas hulot qui sort des champs de blé ça nous tentaient plus, alors on s'est tous mis en pavillon. Pas trop près pas trop loin, juste assez pour découvrir le monde et tout se raconter un peu plus tard. En fait on se construit sans s'en rendre compte et quand on voit qu'on est tous loin des autres et qu'on a tous grandit on se dit " c'est déjà finit?"

Et oui, elle est déjà finie cette période d'adolescence qui nous a paru interminable, les soirées à regarder le ciel en se disant que jamais ô grand jamais nous n'aurons 18 ans, le permis et un brin de raison. Ce qu'il nous semblait long quand on y était ce temps d'incertitude, de doutes et de malêtre désagréable. Et aujourd'hui on ne retient que le beau, que nous, que ces heures passées a rire pour rien, à s'écrire des lettres en cours pour se les donner à la récrée. Ces heures à les voir s'asseoir sur le même banc à la même place pour regarder la fameuse troisième-troisième-trop-jolie-qui-écoute-nirvana-parce-qu'elle-a-un-patch-sur-son-eastpack. Ces heures à manger des crèpes, gauffres, macarons, madeleines. Ces heures sur mon canapé, parce que le QG c'était chez moi je me souviens, de nos rires qui résonnent encore dans ma chambre et sur ma balançoire certains soir de nostalgie comme ce soir. Mais ce soir je les entends pas, ils résonnent encore dans ma chambre vide, à 250 Km de moi...

E
t pourtant il ne faut pas être triste, on s'est construit les uns les autres et maintenant on en profite tous ensemble. Maintenant qu'on à ce putain de permis dont on à tant rêver, maintenant qu'on peut enfin aller à Lambe, Maintenant qu'on à le droit de sortir quand on veux. De partir en vacances ensemble, enfin! Maintenant qu'on est enfin libre de se voir sans accord parental, qu'on continue même de se voir malgré l'éloignement. Maintenant qu'on peut rouler musique à fond, maintenant qu'on peut enfin faire comme Nathan Lucas Peyton Brooke et Haley. Maintenant qu'on peut faire de notre présent une fête à ne jamais oublier, vraiment, ce serai trop bête d'être triste.

Vendredi 6 novembre 2009 à 14:58


http://suicides.underground.cowblog.fr/images/firstsnowbyIvanSuta.jpg

Envie d'ailleurs, de voyage. De partir pour mieux revenir et surtout pour mieux grandir.
Envie d'hivers scandinaves et d'étés californiens. De prendre un sac à dos, un carnet à croquis, un appareil photo et mes jambes à mon cou. Tout en sachant que ça n'arrivera jamais, du moins pas tant que que j'aurai des racines aussi bien implantées en milieu rouennais. Déjà 250 Km 5 jours sur 7 ça me brise le coeur alors un an loin de vous... Et autant ne pas partir que de partir accompagnée. Et pourtant, envie de découvrir le monde de mes propres yeux, de mes propres mains. Parce que j'ai l'impression que de cette façon je me sentirai vivante, presque aussi vivante que quand je suis avec vous, mais avec l'inconnu en plus.


Jeudi 5 novembre 2009 à 18:37

 
http://suicides.underground.cowblog.fr/images/GhostsonTheRoadbyarsovski.jpg

Et dire que j'ai passer la journée à vouloir la passer dans tes bras. Et dire que ça fait 20 mois déjà. Si tu savais comme je t'aime et comme ce soir je regrette d'être ici. Il aurai suffit de presque rien, de 100 kilomètre de moins peut être, pour que je prenne une voiture et que je viennes te chercher en fin de journée. Pour que je te fasse une surprise.
Tu sais ici, c'est gris quand t'y es pas, quand vous y êtes pas. Je m'ennui de la couleur de vos rires, de tes rires. C'est dans ces jours de fête que je regrette d'être loin de toi, si tu savais. Si tu savais le froid la nuit au fond de mon coeur quand t'es pas là. Et le vide le jour dans mon sourire sans toi.
Aujourd'hui mon ange, ça fait 20 mois que tu es venu ajouter la pièce manquante au puzzle qui me compose. Mes amis m'avaient déjà bine assemblée avant toi mais il manquait un bout. Tu sais celui que tu porte dans ton coeur depuis toujours.
Toute la journée, je ne te l'ai pas peut être pas assez dit et je le regrette, mais j'ai pensé à toi. Au 5 mars 2008. A Paris et à nous. C'est dingue le chemin parcourut depuis. La route qu'on à faite main dans la main, aujourd'hui j'ai l'impression que ce temps avec toi est plus que ces 16 années passées sans te connaître. Pourtant tout n'était pas si noir, il y avait leurs couleurs, mais la tienne, ta petite touche à toi, elle vient tout sublimer. " Elle redonne des couleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel".

Samedi on ira à la foire pour rattrapper le temps perdu. En attendant je compte, et j'attends de te revoir. Vivement tes bras, ton sourire. Vivement ta voix, tes mains et les miennes dedans. Vivement Rouen, vivement ton odeur, vivement toi, vivement nous.

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