Dimanche 16 mars 2008 à 22:33

[Comme si la vie s'était posée sur lui, en lui disant toi tu bouges pas les trucs jolis c'est pas pour toi...]


J'ai un nouveau bracelet même si on n'a jamais eu aussi froid. Et puis les fêtes se suivent et ne se ressemblent pas. Il y a des soirs où elle part à l'hôpital qui se ressemblent trop. Et puis il y a moi qui m'en veut d'aller bien au milieu du capharnaüm ambiant. Parce que je vais bien, même si vous voir tous les deux dans la même demie-heure est rarement bon signe.[Est-ce que demain finira bien? je ne sais pas, et je m'en fout] ça résume pas mal mon état d'esprit. Dans 4 mois je serais aux Etats-Unis.... C'est le projet de sur le plus lointain que j'ai. j'attrape des mains que je ne veux plus lâcher. Et puis il y a toujours un orage au dessus de ma tête qui menace d'éclater, en attendant faire comme si de rien n'était et rire le plus possible, pour les jours où je ne pourrais plus.

Vendredi 14 mars 2008 à 20:50



En effet, je crois que ça résume bien.

Mardi 11 mars 2008 à 19:54





Mon père m'as troqué un style à encre invisible contre une lampe de poche. J'ai fait des bisous d'anniversaire de la part de ma copine en mousse et attendu le bus sous la pluie. Et puis merde on crains! Et j'écris aussi mal que quand je faisait des rédactions en CM2, quand ma mère était instit' et qu'elle faisait peur à tout le monde. Quand elle m'a appelée Stellou devant toute la classe sans s'en rendre compte et que depuis c'est resté. A l'époque où tous les garçons avaient les cheveux courts sauf mon amoureux qui avait la même coupe que Luca Turilli, et où toutes les filles avaient les cheveux longs, sauf Cécile qui était déjà une rebelle dans l'âme. L'époque où je jouait du violon 45 minutes par jour et où j'avais des 19 en dictée. Quand on passait notre temps sous le four à pain pendant que ma mère finissait de régler les problèmes de directrice auxquels on ne comprenait rien à rien... Quand on était déjà amis et qu'on avait peur que le collège nous sépare.

Vendredi 7 mars 2008 à 21:29

[L'aventure commença par une mission des plus banales, la routine, le quotidien, l'ordinaire.]
Page 12.


Il y a une raison à tout ceci, vous avez déjà souris pendant 48 heures avec une copine qui vous hurlait des ultrasons dans la tête? Et bien moi oui, et sourire du coeur juste ne fixant un écran... Je vous promet chez moi, c'est une révolution.






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