Samedi 27 octobre 2012 à 21:00

[N'empêche, si tous les dictateurs et généraux du monde avaient un chat endormi sur les genoux, je serai plus tranquille] G.Lagaffe

Et maintenant je reconnnais mes collègues à leur rire et mes colocs au bruit de leur tong, et aux nombres de pas qu'ils prennent pour traverser le couloir. Et maintenant, je me sens chez moi. Dans mon appartement et dans la ville. Et du coup, mon chez moi, celui qui est rempli de gens qui m'aiment me manque un peu.  Maintenant que tous ces lieux sont devenus normaux, quotidiens, ordinaires. Il va falloir les remplir de gens à aimer et à qui se confier. 
Et en même j'ai pas envie de faire l'effort de m'ouvrir aux gens. Parce que des amis et des gens à aimer j'en ai déjà tellement la bas que je ne sais plus si ça vaut ou pas de sortir de ma coquille.


Par Manonbrouillon le Mardi 30 octobre 2012 à 10:46
Si ça vaut le coup.
Se sentir chez soi, avec des gens à aimer, quelques textos à envoyer et des rendez vous à donner ici et là, oui ça vaut tellement coup.
Réorganiser son quotidien ailleurs avec d'autres visages, d'autres lieux, tout qui finit par se mélanger dans cette autre vie qu'on tente d'apprivoiser.
 

Ajouter un commentaire









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://suicides.underground.cowblog.fr/trackback/3213321

 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast