ça fait un bout de temps que j'avais pas écrit. A tel point que j'avais perdu mon mot de passe. Mais avec le changement qui s'annonce je pense que je vais avoir fortement besoin déposer des mots sur un coin de toile alors je prépare le terrain.
J'ai un peu évolué depuis la dernière fois. Je ne suis plus au croisement où l'on a peur de devoir choisir, je suis déjà un peu plus loin. Déjà engagée, sans pouvoir plus faire demi tour, en attente de se prendre une claque dans le figure ou un coup de poing dans l'estomac.
En fait je suis dans l'état plutôt connu du "Jusque là, tout va bien". Pour combien de temps, combien de mois de jours ou de semaines ça ira bien je ne sais pas du tout mais peut importe pour l'instant tout va bien. Je devrais en rester là, ne pas plus penser que ça, ne surtout pas me dire ils vont tous continuer leur vie sans moi, tous finir par ne même plus m'inviter lors des éternelles sorties parce que de toutes façon je ne peux jamais faute de kilomètres et ils finiront par penser à moi au passé, par me dire à chaque fois " tiens dit donc ça fait longtemps!". C'est con, c'est même complètement crétin mais moi je nous voyait bien tous finir dans le même immeuble à être toujours amis, toujours soudés et vivre gaiement au pays des bisounours. D'ailleurs il doit être vachement plus petit que la France le pays des bisounours pour qu'ils ne se perdent jamais comme ça, en fait il doit même être plus petit qu'Auzouville quand on voit ce que le passé nous a donné. Ne pas y penser. point. A la ligne.
En attendant d'avoir épuisé tous les remèdes pour ne pas y penser donc je m'occupe en programmant des tas de truc tout le temps, avec vous tous. Parce que vous êtes ma vie. Comme un puzzle jamais finit vous êtes tous cette mosaïque géniale de sentiments,d'éclat de rire et d 'humains qui me compose. Bien sur vous êtes pas parfait ( sauf un ), je suis loin de l'être moi même, mais cet assemblage de trucs c'est la chose la plus parfaite que j'ai réussi a faire de ma vie. La chose dont je suis la plus fière c'est vous, tous, assemblés dans mes pensées comme des cheveux trop noués pour réussir a vous distinguer les un des autres. Vous tous ensemble vous êtes de loin ce que j'ai de meilleur et au fond vous tous ensemble vous êtes ce qui m'a fait devenir moi durant toutes ces années. Et c'est dingue de penser ça en fait de penser que je suis juste un assemblage de personnes pas parfaites qui donnent un truc pas parfait mais qui est l'essence même du truc parfait qui s'appelle le bonheur. Et paradoxalement plus j'y pense et plus je sourit, et paradoxalement plus j'y pense plus je me dit que le temps joue contre nous, contre moi en réalité. Plus je pense à vous plus je suis heureuse; Et quand on voit ça, quand on voit le bonheur à l'état pur qu'on s'efforce de construire depuis tout ce temps passé ensemble., vous qui ne les connaissez pas vous voyez pourquoi j'ai tant peur de tout perdre d'un coup... Comme un coup de poing dans l'estomac, ou une calque dans la figure.
Désolé c'ets indigeste sans image. Mais ça devait sortir.
J'ai un peu évolué depuis la dernière fois. Je ne suis plus au croisement où l'on a peur de devoir choisir, je suis déjà un peu plus loin. Déjà engagée, sans pouvoir plus faire demi tour, en attente de se prendre une claque dans le figure ou un coup de poing dans l'estomac.
En fait je suis dans l'état plutôt connu du "Jusque là, tout va bien". Pour combien de temps, combien de mois de jours ou de semaines ça ira bien je ne sais pas du tout mais peut importe pour l'instant tout va bien. Je devrais en rester là, ne pas plus penser que ça, ne surtout pas me dire ils vont tous continuer leur vie sans moi, tous finir par ne même plus m'inviter lors des éternelles sorties parce que de toutes façon je ne peux jamais faute de kilomètres et ils finiront par penser à moi au passé, par me dire à chaque fois " tiens dit donc ça fait longtemps!". C'est con, c'est même complètement crétin mais moi je nous voyait bien tous finir dans le même immeuble à être toujours amis, toujours soudés et vivre gaiement au pays des bisounours. D'ailleurs il doit être vachement plus petit que la France le pays des bisounours pour qu'ils ne se perdent jamais comme ça, en fait il doit même être plus petit qu'Auzouville quand on voit ce que le passé nous a donné. Ne pas y penser. point. A la ligne.
En attendant d'avoir épuisé tous les remèdes pour ne pas y penser donc je m'occupe en programmant des tas de truc tout le temps, avec vous tous. Parce que vous êtes ma vie. Comme un puzzle jamais finit vous êtes tous cette mosaïque géniale de sentiments,d'éclat de rire et d 'humains qui me compose. Bien sur vous êtes pas parfait ( sauf un ), je suis loin de l'être moi même, mais cet assemblage de trucs c'est la chose la plus parfaite que j'ai réussi a faire de ma vie. La chose dont je suis la plus fière c'est vous, tous, assemblés dans mes pensées comme des cheveux trop noués pour réussir a vous distinguer les un des autres. Vous tous ensemble vous êtes de loin ce que j'ai de meilleur et au fond vous tous ensemble vous êtes ce qui m'a fait devenir moi durant toutes ces années. Et c'est dingue de penser ça en fait de penser que je suis juste un assemblage de personnes pas parfaites qui donnent un truc pas parfait mais qui est l'essence même du truc parfait qui s'appelle le bonheur. Et paradoxalement plus j'y pense et plus je sourit, et paradoxalement plus j'y pense plus je me dit que le temps joue contre nous, contre moi en réalité. Plus je pense à vous plus je suis heureuse; Et quand on voit ça, quand on voit le bonheur à l'état pur qu'on s'efforce de construire depuis tout ce temps passé ensemble., vous qui ne les connaissez pas vous voyez pourquoi j'ai tant peur de tout perdre d'un coup... Comme un coup de poing dans l'estomac, ou une calque dans la figure.
Désolé c'ets indigeste sans image. Mais ça devait sortir.