Dimanche 6 septembre 2009 à 18:45

 
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Ouvrir les yeux à 8 heures du matin et passer presque uen heure a regarder se chambre. se remémorer de tout, de comment tout ça ets arrivé à la place où il est placé exactement. C'est rassurant. De savoir que rien n'est là par hasard, qu'au fil des années tout à été accumulé avec une certaine logique qui est la notre, qui fait de nousce que nous sommes. C'est dingue à quel point notre chambre fait parti de nous. Et puis se dire que bientôt elle ne sera plus que notre chambre à mi-temps. Qu'il va falloir reconstruire un cocon à 2h30 de route du premier, et qu'il va falloir créer un espèce de pont transdimentionel entre les deux pour toujours se sentir chez soi. Parce que si le pont lache... il y a aura un endroit qui serait moisn le notre que l'autre... Et ça risque de devenir gênant....
Partir ça m'angoisse pas, découvrir un nouveau dcéor ça ne me fait aps trop peur. Mais à l'idée de l'éloignement, d'avoir construit tant et tant de trucs et de devoir mettre tout cela à l'épreuve, là je suis carrément paniquée.
Mais il paraît que grandir c'est ça. C'est sortir de sa tanière pour explorer un peu plus loin. Tout comme pour pouvoir dire le meilleur endroit du monde c'est vraiement dans tes bras, il faut en être séparer; Pour pouvoir dire j'ai vécut il faut avoir voyager. Comme il savait si bien le dire la peur n'arrête pas le danger, alors je m'efforce de ne pas avoir peur et d'avancer. Pour "prendre ma plume et faire de ma vie le plus beau des romans" comme il me l'a ordonné il faut bien que j'aille voir un peu plus loin que le bout de mon nez, juste pour avoir une histoire à raconter.

Mercredi 29 juillet 2009 à 20:07

              ça fait un bout de temps que j'avais pas écrit. A tel point que j'avais perdu mon mot de passe. Mais avec le changement qui s'annonce je pense que je vais avoir fortement besoin déposer des mots sur un coin de toile alors je prépare le terrain.
J'ai un peu évolué depuis la dernière fois. Je ne suis plus au croisement où l'on a peur de devoir choisir, je suis déjà un peu plus loin. Déjà engagée, sans pouvoir plus faire demi tour, en attente de se prendre une claque dans le figure ou un coup de poing dans l'estomac.
En fait je suis dans l'état plutôt connu du "Jusque là, tout va bien". Pour combien de temps, combien de mois de jours ou de semaines ça ira bien je ne sais pas du tout mais peut importe pour l'instant tout va bien. Je devrais en rester là, ne pas plus penser que ça, ne surtout pas me dire ils vont tous continuer leur vie sans moi, tous finir par ne même plus m'inviter lors des éternelles sorties parce que de toutes façon je ne peux jamais faute de kilomètres et ils finiront par penser à moi au passé, par me dire à chaque fois " tiens dit donc ça fait longtemps!". C'est con, c'est même complètement crétin mais moi je nous voyait bien tous finir dans le même immeuble à être toujours amis, toujours soudés et vivre gaiement au pays des bisounours. D'ailleurs il doit être vachement plus petit que la France le pays des bisounours pour qu'ils ne se perdent jamais comme ça, en fait il doit même être plus petit qu'Auzouville quand on voit ce que le passé nous a donné. Ne pas y penser. point. A la ligne.
            En attendant d'avoir épuisé tous les remèdes pour ne pas y penser donc je m'occupe en programmant des tas de truc tout le temps, avec vous tous. Parce que vous êtes ma vie. Comme un puzzle jamais finit vous êtes tous cette mosaïque géniale de sentiments,d'éclat de rire et d 'humains qui me compose. Bien sur vous êtes pas parfait ( sauf un ), je suis loin de l'être moi même, mais cet assemblage de trucs c'est la chose la plus parfaite que j'ai réussi a faire de ma vie. La chose dont je suis la plus fière c'est vous, tous, assemblés dans mes pensées comme des cheveux trop noués pour réussir a vous distinguer les un des autres. Vous tous ensemble vous êtes de loin ce que j'ai de meilleur et au fond vous tous ensemble vous êtes ce qui m'a fait devenir moi durant toutes ces années. Et c'est dingue de penser ça en fait de penser que je suis juste un assemblage de personnes pas parfaites qui donnent un truc pas parfait mais qui est l'essence même du truc parfait qui s'appelle le bonheur. Et paradoxalement plus j'y pense et plus je sourit, et paradoxalement plus j'y pense plus je me dit que le temps joue contre nous, contre moi en réalité. Plus je pense à vous plus je suis heureuse; Et quand on voit ça, quand on voit le bonheur à l'état pur qu'on s'efforce de construire depuis tout ce temps passé ensemble., vous qui ne les connaissez pas vous voyez pourquoi j'ai tant peur de tout perdre d'un coup... Comme un coup de poing dans l'estomac, ou une calque dans la figure.

 Désolé c'ets indigeste sans image. Mais ça devait sortir.

Dimanche 24 mai 2009 à 21:30

Le petit prince il s'ennuyait de sa rose, moi je crois que je vais m'ennuyer de vous tous. C'était un peu devenu comme respirer alors je sais pas trop comment je vais faire mais bon, ce n'est que l'histoire de 5 ans. Et dire qu'il fût un temps où j'avais hâte d'avoir 18 ans, le permis et de faire ce que j'amais vraiment. Avoir toujours rêver de prendre le large et se rendre compte qu'on est pas prête à isser les voiles. Pour lui, pour vous, pour la danse, pour à peut près tout.

Samedi 23 mai 2009 à 12:01

     
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         Tu vois au fond je suis deguelasse parce que j'avais dit que j'écrirai pas sur toi et finalement oui. Et en fait c'est pas vraiment sur toi que j'écris, c'est sur moi, c'est sur la façon que tu as de faire de moi ce que tu veux. C'est le pouvoir que tu as de me faire passer des rires aux larmes avec un seul mot. Tu sais c'est con parce que je m'étais promis de plus jamais laisser ce loisir à personne et qu'a toi je le laisse sans problemes. Parce que au fond je m'en fout royalement, que si jamais t'as envie de me détruire j'en ai rien a faire parce que être détruite à cause de toi c'ets mieux qu'une vie sans toi, parce que si un jour tu m'abandonne avant de me détruire, ben au moins la trace de ton passage dans ma vie restera toujours présente et me portera pour le reste de l'existance que j'aurai à trainer.  Je sais que tu vas pas me croire, mais aujourd'hui le plus important c'est toi, si je vis en vrai, c'ets parce que tu me porte. Et que ces rares moments où tu me lâche plus rien ne me redonne le sourire. Pas même un rire débile, pas même mon dernier gala de danse ce soir, pas même un fondant au chocolat, eux peut, y arrievraient au bon d'un certain temps, mais pas pareil.
Tu vois c'est déguelasse parce que j'arrive pas a écrire des trucs heureux sur toi, sur nous, tellement c'est indescriptible, par contre pleurer en écrivant et en pensant à toi aujourd'hui c'est inévitable. Peut être que tout le monde n'as pas à svaoir ça, peut être que tu va penser que tout ceci c'ets juste un tas de difficulté, d'enguelades... C'est pas de ma faute si j'arrive pas écrire sur ce qui va toujours bien, et si ça va toujours bien tant que tu reste là. C'est pas de ma faute si seule la tristesse et la peur guident mes mots, et que ces deux mots sont le plus souvent liés a toi. Parce qu'avec toi j'ai presque plus peur, et je ne suis presque plus triste.
Tu vois tout ça c'est pas pour te dire de me pardonner, c'est pas pour que tu me plaigne, c'est même pas pour que tu les lise. C'est juste pour poser quelque part que j'ai mal, que je m'en veut, et que j'arrive plus à avancer sans toi. Peut importe qui le lit tu sais, c'est un peu comme un SOS, comme un truc qu'on lance sans réfléchir en espérant que quelqu'un l'attrape et nous aide à nous relever, à nous rendre un bout de sourire, juste assez pour faire bien semblant ce soir sous une couche de laque et de fond de teint, sous les feux des projecteurs, pour faire croire que tout va pour le mieux dans le meilleur des monde. Même si ce soir ce sera pire que tout. Et que je le sais. Tu vois ce truc que tu viens de lire, c'est juste une tentative désespéré d'aller mieux. De poser les tourment noir sur blanc pour ne plus y penser, comme ça marchait si bien avant. Avant que je rencontre cette fameuse personne qui est la seule à pouvoir secher les larmes qu'elle à fait couler.

C'est un peu une déclaration d'amour tu sais, un peu à ma manière un peu tourmentée un pue tout. Mais une déclaration quand même, parce que de tout façon quand ça parle de toi c'ets la suele chose que je puisse faire, des déclaratiosn d'amour, pour montrer que rien, plus rien sans toi n'aurai eu  les même saveurs.

Mercredi 6 mai 2009 à 18:32


Je suis peut être a un de ces carrefour où on se dit que l'on prendrait bien des vacances là tout de suite maintenant, des vacances d'une dizaine d'années. Juste pour ne pas se sentir obliger, pour ne pas décider dans l'urgence, pour ne pas se planter.
Je suis peut être à un de ces moments de l'existence où l'on se pose face à soi même et où la seule chose qui nous vienne à l'esprit c'est :


"Et maintenant, on fait quoi?"


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