Jeudi 12 juin 2008 à 11:12


ça fait 2 jours que j'ai 17 ans. Les cours sont finis depuis hier. Un an de copinage en mousse au compteur. lus de 3 mois dans ses bras. Et presque 6 ans d'amis en or si on fait une moyenne équitable. 11 ans de danse. 10 de violon. J'ai rien vu passer. Dans 14 jours le bac. Dans 28 jours Los Angeles. Encore un an de lycée à passer. Et après plus rien. Si ce n'est la certitude de rester toujours près de vous. 17 Ans que je me laisse glisser, un jour il faut se remuer parait-il, voler de ses propres aile set prendre des décisions. Moi mes ailes c'est eux, c'est vous. Je fait quoi maintenant?
 


Mardi 10 juin 2008 à 22:43



Bande de truite. De fouine. De copines en mousse. D'amis en or. Bande de gens géniaux je vous overkiffe tous autant que vous êtes... Pour tous ceux qui n'ont pas oublié.

Je vous aime.


Et puis, les autres aussi.

Dimanche 8 juin 2008 à 13:03

Il y a des matinées qui ne finissent pas. Qui ne s'arrête que lorsque l'on s'endort le soir à minuit. Se dire qu'on travaillera et ne pas travailler. Et le prévoir 10 heures à l'avance.

Je connais quelqu'un qui sais faire l'ampli et le phoque en même temps. Avec qui je partirai en Finlande. A qui je montrerai ma porte virtuelle parce qu'elle ne peut plus y participer. Une amis avec laquelle je fait plus de projets qu'avec n'importe qui et aux quels je crois. Parce que toi tu le sais, quand je vais mal il n'y  a que les projets qui me remettent d'aplomb, et nous on en a fait des tonnes. Et on les concrétisera le mieux possible. Et puis elle est comme un concentré de bonheur à consommer sans modération. C'est le principe de la bouteille d'oxygène : toujours sur notre dos mais indispensable à notre survit. Sans elle je n'aurai ni fou rire, ni fringues, ni amis, ni deux pour le prix d'un, ni de copine en mousse, ni d'ateba, ni de musique de barbare sur mon iPod. J'aurais pas eu envie de partir a Helsinki, ni d'ouvrir une boutique. Je ne me serai pas mise a la pate fimo et je n'aurais pas d'ex communiste. J'aurai jamais essayé de penser avec mes pieds, ni de lire l'alphabet runique, j'aurais pas de BD, j'aurais pas de site, j'aurais pas de boucles d'oreilles ne cerises et beaucoup moins de fou rire.

Et puis ma copine en mousse elle est [So mystic and divine]. Et je l'aime. Même si elle aurai été plus sexy avec sa chaussette.



on peut tirer un bon enseignement de nos vies :
On aurai du arrêter après Rome.




Jeudi 29 mai 2008 à 20:03




Le petit Poucet saute gaiement sur des mines anti-personnelles. Journées calquées sur celles d'une copine en mousse détraquée. Pleines de fatigue, d'impatience et de questions existentielles. Doux ou acide? Pris en cachette parce que c'est toujours mieux de cacher deux ou trois trucs.  Et puis deux c'est mieux et jamais deux sans trois, ou comment se retrouver avec des cœurs partout? Prenez une copine en mousse, demandez lui de vous présenter ses amis, et craquez sur des yeux bleus, ou verts, ou marrons au choix.Mais bleus c'est mieux. Parce que sinon il faut s'acheter des lunettes, ceux de clément sont bleus mais moins biens. Et ses lunettes n'ont toujours pas d'essuie-glaces. On me casse les deux mains à force de répétions bruyantes mais plutôt fendards. Samedi j'aurai de la laine dans les cheveux mais sans pelote et sans clochette et puis le soir j'applaudirai une jeune fille rincée, claquée, lessivée, fatiguée, crevée, ateba-isée et karentdeuïsée!

[No fronteras, no banderas, no a la autoridad]

Dimanche 25 mai 2008 à 22:32




Passer 4 ans avec vous c'est comme regarder l'auberge espagnole, on ne voit pas le temps passer. Pourtant il passe et on change. On grandit plus ou moins. On prend des centimètres, de la maturité et quelques baffes. Les étés succèdent  aux étés, les fous rires aux fous rire, les années aux années. C'est un sacré bordel. On se regarde changer les uns les autres et on se demande si on fait de même. Est-ce qu'on change sans s'en rendre compte? Et est-ce que l'on changera tous dans la même direction?
C'est bête à dire mais vous êtes mon Tout avec un T majuscule.Vivre sans vous c'est un peu comme manger une glace à la vanille sans chantilly...
J'ai pas peur de changer, c'est fendard le changement. Mais il y a des changements que je ne veux pas voir, je ne veux pas vous perdre. Mais combien de temps regarderons nous encore dans la même direction? Si on doit se perdre on se perdra,  je ne cours plus après les gens je l'ai déjà dit. Mais n'empêche, je ne veux pas.
Et les étés succèdent aux étés.
La vie c'est le bordel mais ceux qui connaissent ma chambre le savent, le bordel je l'aime.

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